… l’affaire doit être tenue dans l’ombre qui se refait et s’échappe entre deux poitrines en appel et partance, prises dans les souffles qui tournent et ouvrent l’espace autour des têtes dans l’oubli de soi.
L’affaire est là.
Sinon rien.
Sinon pourquoi se lèverait-on pour se livrer à l’espace de la piste ?
Serait-on sans cela jamais parti pour marcher sur la Lune ?
Nestor